Dans un contexte de tensions politiques et d'inimitié, les frères d'Henri-Marie Dondra ont été placés en détention à Bangui. L'ombre de l'homme d'affaires Sani Yalo, proche de Faustin-Archange Touadéra, plane sur le dossier.
Le groupe chargé de sélectionner les candidatures de l'Afrique centrale aux postes de commissaires au commerce et à l'éducation ne soumettra pas de dossiers au conseil exécutif de l'Union africaine. Il estime que les profils ne remplissent pas les conditions requises.
Le chef de la transition gabonaise veut obtenir le score le plus élevé possible dès le premier tour de l'élection présidentielle, qui aura lieu le 12 avril. Pour ce faire, il s'appuie principalement sur le Parti démocratique gabonais, et reprend en partie les stratégies pratiquées par Omar Bongo.
Les juges d'instruction françaises chargées de l'enquête sur la détention de membres de l'ancien clan présidentiel ont mené leurs premières auditions mi-mars. Dans le même temps, leur avocat tente de faire pression pour que Brice Clotaire Oligui Nguema étudie le scénario d'une libération avant le mois de juillet.
Fabricant des premiers véhicules 100 % marocains, qui ont commencé à être livrés en 2023, NEO Motors passe à la vitesse supérieure en mettant à profit ses soutiens politiques.
Alerte publiée le 26/03/25, à 12 h 20 - Le chef de la diplomatie française Jean-Noël Barrot travaille sur un déplacement à Alger début avril. Une émissaire de l'Élysée s'est d'ores et déjà discrètement rendue fin mars dans la capitale algérienne.
En défendant les intérêts agricoles du Maroc, le cabinet de lobbying Rud Pedersen s'est attiré les foudres des eurodéputés de gauche. Après un appel au boycott lancé début mars, ils viennent d'envoyer une lettre à la présidente du Parlement européen, Roberta Metsola.
Deux sociétés, britannique et canadienne, se bousculent pour racheter à des proches du régime du MPLA leurs participations sur des permis particulièrement prometteurs de l'offshore angolais.
Les fonds que l'Allemagne s'est engagée à verser en reconnaissance du génocide des Hereros et des Namas, en Namibie, au début du XXe siècle, n'ont pas encore été débloqués. Des considérations de politique intérieure allemande et namibienne freinent un processus déjà lent et complexe.