Avec "l'affaire Bouraoui", les relations entre la France et l'Algérie entrent dans une nouvelle zone de turbulences. Le patron des services de renseignement algériens M'henna Djebbar a annulé le 9 février une rencontre avec son homologue français de la DGSE, Bernard Emié.
A la tête du groupe djihadiste GSIM, Iyad Ag Ghali s'est entretenu dans la plus grande discrétion avec son ancien rival, l'ex-général de l'armée malienne El hadj Ag Gamou. Objectifs : s'organiser pour combattre l'Etat islamique dans le Grand Sahara et tenter de composer dans une région sur laquelle Bamako n'a plus de prise.
Le chef de la diplomatie togolaise, Robert Dussey, se rendra dans la capitale russe pour une visite officielle de plusieurs jours le 21 février. A Moscou, il doit notamment s'entretenir en tête-à-tête avec son homologue russe, Sergueï Lavrov.
L'agence onusienne, après plus de 6 mois d'attente, vient de nommer sa nouvelle porte-parole.
Calendrier trop court, tensions avec le ministère des finances, tentatives d'immixtion de responsables politiques... Le processus électoral en vue de la présidentielle prévue en décembre est semé d'embûches pour la Commission électorale nationale indépendante.
En amont de sa visite prévue début mars, dans un contexte délicat, Emmanuel Macron a envoyé cette semaine à Kinshasa son conseiller Afrique, Franck Paris.
Stratégique pour Abou Dhabi, la situation en Libye est suivie par un trio d'initiés pour le compte du président émirati, Mohammed bin Zayed al-Nahyan. Les trois hommes, diplomates et militaires, sont aussi les principaux interlocuteurs des capitales occidentales sur le dossier.
Dans l'espoir de désamorcer le blocage au sein de la région Afrique du Nord, l'ambassade d'Egypte a déposé mardi matin une candidature pour la première vice-présidence de l'Union africaine.
Voté in extremis fin janvier, le budget de l'Etat doit éponger trois mois de blocage. L'arrêt de l'aide internationale a entraîné la banqueroute des administrations soudanaises.
William Ruto veut apporter sa touche personnelle à la relation entre Nairobi et Paris, florissante sous son prédécesseur Uhuru Kenyatta. Et depuis la visite du président kényan en France, le Quai d'Orsay et les entreprises françaises revoient leur copie pour relancer leurs projets au Kenya.
Le cabinet américain McKinsey, qui a reconnu son implication dans des détournements de fonds sous la présidence de Zuma, envisage de travailler de nouveau pour la sphère publique. Cette fois, il entend le faire gratuitement, au titre de sa responsabilité sociale, en encadrant strictement ses interventions.
