Plusieurs postes clés de la diplomatie française en Afrique vont changer de titulaire, notamment à Conakry, Bangui et Addis-Abeba. Des évolutions s'annoncent aussi pour la direction de l'Afrique et de l'océan Indien. Révélations.
En situation difficile face aux banques du fait de son endettement, Tullow Oil, la junior ayant le plus grand nombre d'actifs sur le continent, devra rapidement prendre des décisions délicates.
Le groupe canadien Sarmin Mining semble désormais s'intéresser au secteur aurifère africain, les sociétés Sarmin Gold Corp et Sarmin Goldfields Exploration étant apparues dans le registre du commerce mauricien.
Si le nouveau président de Guinée-Bissau multiplie les ouvertures en direction de la Turquie et des Emirats, il s'active dans le même temps pour renouer avec le Portugal, et se rêve même médiateur en Libye.
La justice canadienne, puis l'assemblée générale de Robex Resources, ont tué dans l'œuf la fronde d'un groupe d'actionnaires qui remettait en cause la gestion de cette société produisant de l'or sur la mine malienne de Nampala.
Malgré la menace terroriste, l'australien Golden Rim parvient à lever des fonds pour son projet d'or de Kouri, dans l'Est burkinabé, bénéficiant depuis peu de l'aura du magnat minier Adonis Pouroulis.
La compagnie minière Metallon Corp, fondée par l'homme d'affaires sud-africain Mzi Khumalo, vient de devenir le premier actionnaire de la junior nigériane Lekoil.
Un appareil de la force aérienne portugaise va prochainement soutenir la mission des Nations unies au Mali en effectuant des missions de transport de troupes et de marchandises, ainsi que des patrouilles de reconnaissance.
Après le décès du premier ministre Amadou Gon Coulibaly, Alassane Ouattara devrait lui désigner comme successeur le ministre de la défense Hamed Bakayoko en début de semaine prochaine.
Influente épouse du ministre de l'agriculture Aziz Akhannouch, Salwa Idrissi Akhannouch augmente le capital de sa holding Aksal pour faire sortir de terre ses deux centres commerciaux à Rabat et Marrakech.
Le géant américain General Electric (GE) s'est allié avec l'entreprise norvégienne Monitor Power Systems (MPS) en vue de la réalisation d'une centrale thermique de 460 MW.
Pour la deuxième fois depuis 2016, le Mozambique a fait défaut aux investisseurs qui ont souscrit à son obligation de 900 millions $.