Le président de la transition Mahamat Idriss Déby compte sur l'émirat gazier pour financer une vaste réconciliation au Tchad, mais de sérieux obstacles se dressent encore sur la voie.
Avec la désignation de son président, le tribunal arbitral chargé de départager l'Etat nigérian et ENI au sujet du développement du bloc offshore OPL 245 est au complet.
Anticipant sur l'allègement du dispositif français Barkhane, les conseillers de sécurité américains se montrent très attentifs à la modernisation des capacités des armées sahéliennes.
Après que sa filiale Congo Iron a lancé un arbitrage contre l'Etat du Congo en mars pour un retrait unilatéral de son projet de fer de Nabeba, l'australien Sundance en a engagé un de son côté fin juin sur le même sujet.
Malgré les lobbyistes de Moïse Katumbi à Washington, qui tâchent de distendre les liens privilégiés tissés par l'administration de Joe Biden avec celle de Félix Tshisekedi, la diplomatie américaine, rangée derrière le suractif ambassadeur à Kinshasa Mike Hammer, reste mobilisée en faveur du chef de l'Etat congolais.
Débouté en première instance en juin dernier à Washington, le cabinet de lobbying américain CapitalKeys retente sa chance devant la justice des Etats-Unis pour le litige qui l'oppose à la Banque centrale du Congo.
Les tensions nées de l'hospitalisation du chef du Polisario, Brahim Ghali, en Espagne en avril n'ont pas torpillé le méga-contrat remporté par le chantier naval espagnol auprès de la Marine royale marocaine.
Les méthodes de présélection des hauts postes de l'Union africaine provoquent de plus en plus de mécontentement dans les grandes capitales du continent. Une campagne de recrutement a de nouveau été lancée pour recruter le DG du Nepad.
Entre 2010 et 2013, le géant français des télécommunications avait tenté de moderniser Ethio Telecom. Alors que l'entreprise d'Etat s'apprête à ouvrir son capital au privé, Orange tente une nouvelle ouverture avec son ancien partenaire.
Les émissaires de la nouvelle présidente tanzanienne Samia Suluhu Hassan veulent intéresser leurs voisins est-africains, mais aussi le Maroc ou encore l'Egypte.
Une délégation du ministère saoudien des affaires étrangères s'est rendue le mois dernier à Mogadiscio.
Derrière son nom peu évocateur, la société LK Mining est en passe d'obtenir un permis minier de diamants sous-marins au large de la Namibie. Elle est dirigée par un vétéran du secteur, qui cherche à se tailler une place dans un secteur dominé par des géants.
L'opérateur du bloc sud-africain 3B/4B, Africa Oil (20 %), attend impatiemment le forage du prospect namibien Venus (bloc 2913B) que TotalEnergies (ex-Total) et Qatar Petroleum (QP) s'apprêtent à réaliser en septembre.
