Issu d'une grande famille somalienne qui a essaimé sur tout le continent, le consultant Liban Soleman compte désormais parmi les familiers de la première famille rwandaise, après avoir été chef de cabinet d'Ali Bongo pendant cinq ans.
Le Parti démocratique de Côte d'Ivoire s'apprête à tenir sa convention pour désigner son candidat à l'élection présidentielle. Malgré ses 86 ans, l'ancien président ivoirien souhaite se présenter.
Hostile aux partenariats public-privé, le ministre de l'énergie et des mines veut annuler la construction de la centrale devant alimenter le pôle phosphatier de Gabès, au risque de s'attirer les foudres des bailleurs internationaux.
Réfugié à Abu Dhabi, l'ancien directeur de cabinet et Monsieur Afrique de Mouammar Kadhafi, Béchir Saleh, prodigue désormais, en toute amitié, ses conseils au prince héritier émirati, Mohamed bin Zayed al-Nahyan, sur les affaires libyennes et africaines.
Le grand argentier du pays Al Seddik Omar al-Kabir a perdu le soutien de son bras droit, Tarik Yousef al-Megarief. Ce dernier mène désormais campagne contre lui au sein du conseil d'administration de la Banque centrale libyenne de Tripoli.
Bayat Catering de Belkheir Bayat a décroché un contrat de prestation sur les champs gaziers de Tinerkouk et Tinerkouk Ouest.
A l'origine spécialisé dans l'industrie pharmaceutique, le clan indien Agrawal a recruté des experts venus des géants miniers de la Copperbelt pour piloter ses nouvelles opérations d'exploration du sous-sol de la RDC et de l'Ouganda.
Alors que le gouverneur du comté de Turkana, Josphat Nanok, veut s'imposer comme un des hommes forts du pétrole, la pandémie de Covid-19 pourrait donner un coup de grâce à ses ambitions. Le désengagement de Total et Tullow freinerait également les projets des hommes d'affaires du comté.
Alors que l'Afrique a coupé les ponts aériens avec la Chine, c'est Ethiopian Airlines qui a assuré les livraisons humanitaires de matériel chinois sur tout le continent et permis au premier ministre éthiopien Abiy Ahmed Ali d'asseoir sa position de leader panafricain.
Les signes opérationnels d'abandon des projets gaziers d'ExxonMobil et d'ENI à Coral et Mamba auront un impact significatif sur les calendriers de forage.
La société publique mozambicaine Hidroeléctrica de Cahora Bassa, qui gère le barrage éponyme dans la région occidentale du Tete, va inspecter son réseau d'exportation vers l'Afrique du Sud, où le marché de l'électricité est en forte tension.
